Grille tv

Cette série part à la découverte des îles qui comptent la faune la plus spectaculaire au monde. Iles Malouines, Philippines, île de Vancouver, Japon… Chaque épisode explore la faune d'une île ou d'un archipel où l'évolution a abouti à une biodiversité remarquable.
Dans cet épisode, nous partons dans l’archipel des Malouines, désolé et battu par les vents, qui se situe à 460km du continent sud-américain. Des montagnes accidentées et une vaste côte immaculée restent préservées des activités humaines, faisant de cet archipel un habitat unique pour la faune sauvage – en particulier pour l’un des plus célèbres oiseaux incapables de voler.
Les manchots rappellent souvent des images de glace et de neige, mais les plages de sables et les prairies vallonnées malouines en font l’une des capitales mondiales des manchots. Plus d'un million d'entre eux se reproduisent sur les îles chaque été, partageant les champs avec les moutons qui paissent jusqu'à un kilomètre à l'intérieur des terres, et prenant des douches d'eau douce le long des criques rocheuses.
Mais cette retraite n'est pas qu'une partie de plaisir. Bien qu'aucun mammifère terrestre ne menace les manchots, des phoques prédateurs, des rapaces et des orques parcourent les plages à la recherche d'un repas facile.

À Narbonne, dans l’Aude, des citoyens dénoncent les pollutions de la plus grande usine de conversion d’uranium en Europe. Alimenté par l’uranium provenant notamment d'Afrique, le site rejette des dizaines de milliers de tonnes de déchets, à trois kilomètres du centre-ville.
À Arlit, au Niger, à proximité d’une immense mine d’uranium, les habitants vivent dans des zones qui dépassent la radioactivité de la zone interdite de Tchernobyl.
Malgré les interdictions, une équipe de journalistes, aidée par des scientifiques, enquêtent dans les deux pays et réalisent des dizaines de prélèvements pour en savoir davantage sur les pollutions de l’uranium qui alimente nos centrales nucléaires.
Leurs conclusions seront reprises par les médias, s’inviteront dans le débat politique et serviront de preuves aux citoyens qui portent plainte pour préserver leur environnement et leur santé.

Pour le monde animal et végétal qui y vit, le Kalahari est une région d’Afrique australe aussi grandiose qu’impitoyable. Ici les pluies et les ressources sont si rares et les saisons sèches si longues que boire, se nourrir, se protéger, se reproduire, sont un défi quotidien. Et pourtant des centaines d’espèces le relèvent chaque jour depuis des millénaires. Longtemps on a pensé que seule la loi du plus fort permettait de survivre ici. Mais c’est une toute autre stratégie qui s’impose : la coopération. Pour surmonter tant d’adversité, les espèces ont appris à s’unir et à œuvrer ensemble, entre membres d’un même clan, mais aussi entre espèces différentes, entre minuscule et puissant, entre végétal et animal. Contre toute attente, partager son terrier avec d’autres, chercher ensemble sa nourriture, s’associer pour chasser, se rassembler pour protéger ses petits, diviser le travail pour s’économiser et même parfois se sacrifier pour son clan vaut bien mieux que l’individualisme. Le premier épisode de cette formidable aventure raconte comment, à la fin d’une courte saison des pluies, la collaboration est déterminante pour tirer le maximum de cette période d’abondance fugace, et combien elle compte pour la survie des plus jeunes et des plus vulnérables.

Pour le monde animal et végétal qui y vit, le Kalahari est une région d’Afrique australe aussi grandiose qu’impitoyable. Ici les pluies et les ressources sont si rares et les saisons sèches si longues que boire, se nourrir, se protéger, se reproduire, sont un défi quotidien. Et pourtant des centaines d’espèces le relèvent chaque jour depuis des millénaires. Longtemps on a pensé que seule la loi du plus fort permettait de survivre ici. Mais c’est une toute autre stratégie qui s’impose : la coopération. Pour surmonter tant d’adversité, les espèces ont appris à s’unir et à œuvrer ensemble, entre membres d’un même clan, mais aussi entre espèces différentes, entre minuscule et puissant, entre végétal et animal. Contre toute attente, partager son terrier avec d’autres, chercher ensemble sa nourriture, s’associer pour chasser, se rassembler pour protéger ses petits, diviser le travail pour s’économiser et même parfois se sacrifier pour son clan vaut bien mieux que l’individualisme.
Le second épisode éprouve les duretés croissantes d’une interminable saison sèche. Il révèle plus que jamais, la force des alliances et de l’entraide dans la quête quotidienne d’eau et de nourriture, et face à toutes les menaces que la faim et la soif attisent. Deux films pour découvrir de fascinantes alliances animales, et explorer la force irremplaçable du collectif dans un monde sauvage où on ne survit jamais seul.

Avec ses eaux turquoise, la richesse de sa culture bouddhiste et sa faune et sa flore luxuriantes, la Thaïlande est une des destinations touristiques les plus prisées au monde. Le royaume est aujourd'hui tiraillé entre le boom de la modernité et la volonté de sauvegarder des traditions vieilles de plusieurs siècles. Tiga part au «pays des sourires», qui entretient et promeut son histoire et sa culture tout en adaptant les codes occidentaux.

Traversée par la Moselle, la Meurthe et la Meuse, la Lorraine est la seule région française à avoir une frontière avec trois pays : la Belgique, le Luxembourg et l'Allemagne. Elle est au cœur de l'identité et de l'histoire européenne. Malgré son passé historique tourmenté, elle entretient un dynamisme et une forte attractivité.

Il aura fallu trois ans à Pierre Stine et son équipe pour percer les mystères des incroyables coopérations animales du Kalahari. Trois années de patience, de détermination, d’ingéniosité, de prises de risque parfois et de chance aussi, pour les filmer d’aussi près que possible. Tout a commencé par des mois d’enquêtes scientifiques et de préparation minutieuse auprès des meilleurs spécialistes de chaque espèce. Et puis ce fut le grand départ vers les immensités du Kalahari pour deux ans de tournage ! Pour saisir au plus près l’intensité et la complexité de ces collaborations animales et végétales, des moyens techniques d’exception ont été mobilisés.
Mais quand on filme le monde sauvage, la technique n’est pas tout ! Ici c’est lui qui impose sa loi, et pour l’approcher, il faut apprendre à le connaître et à le comprendre. Plus que jamais, l’équipe de tournage doit s’appuyer sur tous ceux qui le côtoient au quotidien, tous ceux qui connaissent ces espèces et leurs moindres habitudes. Elle doit s’adapter sans cesse aux imprévus, et à la terrible sécheresse qui bouleverse ces collaborations ancestrales. Comme pour le monde animal et végétal de ce fascinant territoire, seule la coopération entre tous permet de relever tous les défis de ce tournage ! Ce sont les coulisses de cette aventure exceptionnelle, humaine autant qu’animale, que raconte ce film.

L'équipe d'Ushuaïa Nature se rend au coeur de la beauté sauvage de l'Afrique australe à la rencontre d'animaux singuliers. Pour ce 39e numéro d'Ushuaïa Nature, l'équipe a choisi de voyager dans les airs avec peu de bruit, si ce n'est celui de l'hélice, grâce à un Woopy électrique. Cette incroyable épopée commence en Zambie, l'ex-Rhodésie du Nord, et se poursuit jusqu'aux côtes namibiennes. Un voyage en vol libre à la découverte d'horizons insoupçonnés.

La pêche est l'un des grands enjeux de demain. Les annonces-choc s'enchainent, promettant un avenir des plus sombres : plus de poisson d'ici 2050, donc plus de pêcheurs, plus d'emplois, et une crise alimentaire dans de nombreux pays dépendants des ressources maritimes.
Les humains avancent-ils inexorablement jusqu'à l'épuisement des ressources ou sont-ils capables de muter pour se sauver ?
Au contact de pêcheurs, chercheurs, industriels, activistes (dont Claire Nouvian), ce film propose une perspective mondiale de la pêche, et interroge sur notre capacité à pêcher de façon "durable".

Dans chaque épisode de la collection "Les voyageurs solidaires", nous suivons une personnalité publique qui, accompagnée du journaliste Stéphane Basset, devient, pendant quelques jours, un(e) voyageur(se) solidaire et soutient une association dans ses actions locales.
Pour ce nouveau numéro événement des "voyageurs solidaires", l'icône internationale de football Didier Drogba ouvre, pour la première fois, les portes de son action humanitaire en Côte d'Ivoire, à travers la "Fondation Didier Drogba". Stéphane Basset et son équipe bénéficient d'un accès exclusif à l'homme derrière la légende.
À l'occasion de ce tournage, nous allons assister à la naissance du pôle environnement de la fondation. Drogba nous emmène dans un périple captivant, des côtes majestueuses de Grand-Lahou jusqu'aux profondeurs de la forêt mythique de Taï.
Accompagné de sa compagne Gabrielle Lemaire, force motrice de la fondation en tant que vice-présidente, l'ancien attaquant de Chelsea dévoile l'ampleur de son engagement.
Après la santé et l'éducation, la Fondation Didier Drogba s'attaque désormais aux défis environnementaux avec la même détermination qui a fait de Drogba une légende sur le terrain.
Un voyage inoubliable où l'inspiration rencontre l'action, et où la superstar du football prouve qu'elle est aujourd'hui le champion d'une cause bien plus grande que le sport.

En 2012, à Makthar, dans les montagnes du nord-ouest tunisien, partant de rien, l'association Wallah We Can entreprend de rendre un collège autonome sur les plans énergétique et alimentaire. L'école est transformée en entreprise sociale, la GreenSchool, qui génère elle-même ses revenus.
Après ce projet pilote, l'association a aujourd'hui acquis un terrain de plus de 400 hectares près de Bizerte pour y bâtir une immense ferme destinée à nourrir les écoliers de 207 établissements.
En 2023, les GreenSchool de Wallah We Can sont en passe d'essaimer dans plusieurs pays du monde.
Partons à la découverte de cette aventure humaine d'engagement inconditionnel pour le respect de l'enfant, qui s'écrit au jour le jour, au fil des luttes et des victoires...

Sur tous les continents, il existe des fleuves mythiques, de véritables appels à prendre le large. Ils sont la source des plus grandes civilisations, le refuge de peuples oubliés, un poumon économique et culturel, et de merveilleux éco-systèmes.
Dans cet épisode, François Pêcheux part à la découverte de la Tamise, dans le sud de l’Angleterre. D'une longueur totale de 346 km, c’est le plus long fleuve dont le cours se trouve entièrement en Angleterre, et le second le plus long du Royaume-Uni.
François commence à la source, près du Pays de Galles, dans la campagne des Cotswolds. La Tamise n’est alors qu’un petit ruisseau sorti de terre. Il faudra quelques kilomètres à François pour trouver un premier bateau. La navigation commence finalement avec Nick, sur sa petite péniche.
Les paysages sont verdoyants et grandioses, et François arrive aux abords de la grande ville d’Oxford. C’est au milieu des avirons que François arrive au centre-ville. Oxford compte plus de 30 universités, et c’est un véritable musée à ciel ouvert. François rencontre Émilie, étudiante à l’Université Sir Edmund Hall et barreuse pour l’équipe d’aviron de l’Université.
François termine sa visite de la campagne anglaise par une « tonte de moutons ». Il prend ensuite un bateau-taxi pour arriver à Windsor, ville royale. Il y rencontre Chris, le crieur public de Windsor, qui l’initie à cette mission bien bruyante.
L’arrivée sur Londres est majestueuse, et c’est à bord d’une magnifique péniche que François traverse Londres et ses monuments mythiques, sous un beau soleil. Au petit matin, à marée basse, c’est un voyage dans le temps que François effectue sur les berges de la Tamise avec Anna, une « mudlarker », littéralement « fouilleuse de boue », qui l’initie à la recherche de trésors enfouis dans le sable…
François s’approche du but, car la mer est vraiment tout proche à la sortie de Londres… Il navigue sur cette dernière portion de Tamise avec Clémence, avant d’atteindre la mer du Nord.
Baroudeur curieux, il embarque sur tout ce qui flotte, prêt à faire escale à tout moment. Et il n’a qu’une seule certitude : au bout c’est la mer…

Sans les singes, les forêts tropicales d’Amérique du Sud sembleraient dépeuplées. Leurs cris, leurs bonds, leurs postures familières dans les arbres font la vie de ces forêts.
Mais pour arriver jusqu’aux cimes de la canopée amazonienne, le chemin a été long. Les singes d’Amérique du Sud ont vécu une véritable odyssée qui a duré des millions d’années et qui leur a fait franchir des continents, traverser des océans, conquérir des forêts.
L’avenir des singes d’Amérique du Sud et de la planète est désormais entre les mains des hommes. À nous de faire en sorte que leur incroyable odyssée puisse continuer.

Un seul coup d'œil suffit pour qu’il ravive nos imaginaires et nos mémoires d’enfant. Son énorme corps, sa trompe sans fin, ses oreilles immenses, et ses longues défenses font de lui un être fascinant, symbole d’intelligence, de sagesse, de puissance et de liberté : l’éléphant des savanes.
Il est l’un des trois derniers représentants d’un ordre qui a pourtant compté 200 espèces et dominé la planète pendant une dizaine de millions d’années. Cette odyssée fantastique a façonné celui qui est devenu l’emblème du continent africain.