Grille tv

Chaque année, un avion cargo transportant jusqu'à 50 chevaux, achetés par des investisseurs singapouriens, quitte l'aéroport de Sydney à destination de l'aéroport de Manille. A l'intérieur, tous types de chevaux : chevaux de course, poneys miniatures, Clydesdales... Une telle mission nécessite une planification méticuleuse. Mais quelle que soit l'attention portée par Cameron à sa planification, il y a des choses qui échappent à son contrôle...

Dans ce premier épisode, un projet ambitieux prend forme à plus de 300 km de Montréal, en pleine forêt vierge. Lucas, Gwenaël et Alain allient leurs efforts pour ériger un village autosuffisant écotouristique. En plein cœur de l'hiver, la neige est abondante et le froid, perçant. Accompagné d'un groupe de vivalistes, Lucas part en expédition afin de trouver l'emplacement idéal pour la construction d'une érablière. Audrey désire accoucher sur la terre, dans le wigwam collectif, mais des complications surgissent.

A plus de 300 km de Montréal, en pleine forêt vierge Lucas, Gwenaël et Alain allient leurs efforts pour ériger un village autosuffisant.
Dans ce deuxième épisode, Audrey tente de donner naissance à son premier enfant, mais ses douleurs sont immenses. Cette situation bouleverse le groupe de vivalistes. Après un hiver exigeant, le printemps est rempli de promesses et de défis. Plusieurs projets de construction sont élaborés, dont une maison ronde capable d'accueillir Lucas, son amoureuse Maïla et leur fils Sovan. Vivre en permanence dans le wigwam collectif n'est pas toujours facile pour la famille. Le désir d'intimité se fait de plus en plus sentir.

A plus de 300 km de Montréal, en pleine forêt vierge Lucas, Gwenaël et Alain allient leurs efforts pour ériger un village autosuffisant.
Dans ce troisième épisode, Maïla, Sovan et Lucas profitent de quelques jours d'accalmie sans visiteurs pour vivre un doux moment de bonheur en famille. Lucas poursuit la construction du toit réciproque de la maison ronde. Un énorme défi ! José, le père de Maïla, vient leur prêter main forte. Jean-Philippe et son fils Emeris débarquent à leur tour sur la terre. Pour le jeune garçon de 13 ans, vivre dans la forêt, pêcher avec son père et contribuer aux travaux collectifs est une incroyable école de la vie.

Sophie Jovillard pose ses valises en Egypte et embarque à bord d'une dahabiya au fil du fleuve nourricier, le Nil. Le voilier d'antan la mène aux pyramides, dans la vallée du Nil puis au Caire, la ville qui ne dort jamais. Elle part à la rencontre de la population, afin de comprendre comment vivent les Egyptiens aujourd'hui, se plongeant dans les paradoxes de ce beau pays que chantait Dalida, ce pays dont la vitrine touristique s'est fissurée il y a quelques années, et qui peine à rebondir.

Le Pérou abrite plusieurs milliers de sites archéologiques, une grande diversité biologique et une nature diversifiée. Qu'on soit passionné d'Histoire, de gastronomie ou d'aventures, le Pérou propose un large éventail de parcours que foulent toutes sortes de voyageurs. Jérôme Pitorin part dans un pays qui est sous les projecteurs du monde entier en raison du sommet sur le climat, de visite du Pape François et, bientôt, du Rallye Dakar, à la découverte de ceux qui tentent, face au tourisme de masse, de conserver l'authenticité de leur culture.

On produit trop, on consomme mal, on répartit peu, et on pollue toujours plus ! L’objectif aujourd’hui est de transformer notre système en profondeur par une économie circulaire, où invendus et rebuts seront revalorisés par la récupération. Les héros du zéro déchet raconte comment de jeunes générations se libèrent du carcan consumériste, trouvent des solutions et passent à l’action. Ils réemploient les déchets pour réduire l’empreinte écologique. En route vers le zéro déchet, et la réinvention d’un monde nouveau.

L'émerveillement est le premier pas vers le respect. Partons avec Nicolas Hulot à la découverte des beautés de notre planète.

Partout dans le monde, du Canada à l’Inde en passant par Amsterdam, découvrons comment des passionnés perpétuent l’art traditionnel du tatouage transmis par leurs ancêtres. Chaque épisode de cette série surprenante nous fait découvrir une culture indigène, ses outils et techniques de tatouage, les symboles et traditions qui ont forgé leur art.

Partout dans le monde, du Canada à l’Inde en passant par Amsterdam, découvrons comment des passionnés perpétuent l’art traditionnel du tatouage transmis par leurs ancêtres. Chaque épisode de cette série surprenante nous fait découvrir une culture indigène, ses outils et techniques de tatouage, les symboles et traditions qui ont forgé leur art.

Partout dans le monde, du Canada à la Nouvelle Zélande en passant par la Tunisie, découvrons comment des passionnés perpétuent l’art traditionnel du tatouage transmis par leurs ancêtres. Chaque épisode de cette série surprenante nous fait découvrir une culture indigène, ses outils et techniques de tatouage, les symboles et traditions qui ont forgé leur art. L’art du tatouage nous permet de plonger dans certaines des cultures les plus anciennes de notre planète et de capter un point de vue unique sur la vie, l’identité et la nature qui nous entoure.
Mo Naga est un tatoueur traditionnel de Manipur, dans la luxuriante région du nord-est de l'Inde, à la frontière du Myanmar. Alors qu'il étudiait le dessin de mode au début de la vingtaine, Mo Naga est tombé par hasard sur quelques dessins textiles Naga intéressants et a rapidement réalisé leur importance culturelle. Il a progressivement commencé à les rechercher, les archiver et les préserver. Sa créativité et son amour pour les tatouages l'ont amené à créer un style de design néo-Naga. Mo Naga travaille maintenant avec diligence depuis son studio de tatouage de New Delhi, faisant revivre la culture traditionnelle du tatouage Naga de son peuple et de toute la région du nord-est de l'Inde.

Partout dans le monde, du Canada à la Nouvelle Zélande en passant par la Tunisie, découvrons comment des passionnés perpétuent l’art traditionnel du tatouage transmis par leurs ancêtres. Chaque épisode de cette série surprenante nous fait découvrir une culture indigène, ses outils et techniques de tatouage, les symboles et traditions qui ont forgé leur art. L’art du tatouage nous permet de plonger dans certaines des cultures les plus anciennes de notre planète et de capter un point de vue unique sur la vie, l’identité et la nature qui nous entoure.
Dans les années 1950, les guerriers des îles Maluku, sous contrôle néerlandais, qui combattaient aux côtés des soldats néerlandais contre les Indonésiens, ont été ramenés de force aux Pays-Bas. En tant que descendant de cette diaspora des Moluques, Joe Patty-Sabandar a redécouvert et renoué avec sa culture ancestrale traditionnelle. En tant que tatoueur, il est très soucieux de préserver et de partager la culture moluquoise telle qu'elle existait avant la colonisation des îles Maluku par les Portugais.

Dans cette saison, Philippe Gougler nous emmène en voyage dans des trains pas comme les autres à la découverte des cultures et paysages incroyables du Zimbabwe, de la Corée du Sud, de l'Italie du Sud, de la Mongolie et enfin de la Suède !

Philippe se rend en Corée du Sud en commançant par Séoul, avec son métro ultra-moderne et sa gastronomie un peu particulière. Son premier train, le KTX, le mène à Hwacheon. Il embarque ensuite à bord du Golden Train, qui possède un intérieur aménagé dans le plus pur style traditionnel coréen et qui comporte des wagons-spas. Puis, après un arrêt à Hongseong pour visiter un temple bouddhiste, il termine ce voyage en empruntant le DMZ Train jusqu’à la zone frontalière avec la Corée du Nord.

Dans cette saison, Philippe Gougler nous emmène en voyage dans des trains pas comme les autres à la découverte des cultures et paysages incroyables du Zimbabwe, de la Corée du Sud, de l'Italie du Sud, de la Mongolie et enfin de la Suède !

Philippe Gougler nous emmène en voyage dans des trains pas comme les autres et nous propose des itinéraires au cœur d’un pays, d’une civilisation ou d’un peuple. Le train reste le vecteur de découverte central, symbole d’un mouvement vers un ailleurs propice au dépaysement. Il nous permet de contempler des paysages spectaculaires et de réaliser des rencontres aussi étonnantes qu’imprévisibles.
Dans cet épisode, direction l'Argentine du Nord. Le périple de Philippe Gougler débute dans les montagnes abruptes de la Cordillère des Andes, où il accompagne une équipe de cheminots qui bichonne la voie. Pour ce faire, ils circulent à bord d'un drôle d'engin, mi-train, mi-pickup. Le globe-trotteur rencontre ensuite des lamas, des animaux typiquement andins. Il reprend le train jusqu'à Rosario, une ville qui a vu naître nombre de footballeurs, et découvre une boisson énergisante très locale : le maté. Puis direction Buenos Aires qui, malgré l'inflation, continue de vivre au rythme du tango. Philippe continue enfin vers la côte Atlantique, Mar del Plata et Epecuen.

Philippe Gougler nous emmène en voyage dans des trains pas comme les autres et nous propose des itinéraires au cœur d’un pays, d’une civilisation ou d’un peuple. Le train reste le vecteur de découverte central, symbole d’un mouvement vers un ailleurs propice au dépaysement. Il nous permet de contempler des paysages spectaculaires et de réaliser des rencontres aussi étonnantes qu’imprévisibles.
Dans cet épisode, direction le Japon en hiver, tout au nord, sur l’île d’Hokkaido, pour un spectacle complètement dépaysant. Malgré les conditions climatiques parfois extrêmes, les trains sont toujours en activité avec une précision très nippone. C’est ce que va découvrir notre globe-trotter, Philippe Gougler en voyageant du sud au nord de l’île. Il découvre d’abord un petit train « au poêle », une petite ligne dans son jus dans laquelle les voitures possèdent de gros poêles de charbon pour faire cuire de petits calamars. Il y a aussi le fameux Shinkansen, un train ultra rapide qui rivalise avec notre TGV. Les amoureux des trains sont très nombreux et attendent parfois des heures dans le froid pour apercevoir le Shinkansen rouler sous la neige. A Hokkaido, Philippe découvre également une agriculture pas comme les autres, où les choux sont récoltés sous plus d’un mètre de neige. Ici, les trains sont de véritables petits cocons qui roulent quotidiennement sous la neige. Les conducteurs ont des techniques de conduite très particulières afin de garantir une sécurité optimum. Philippe Gougler fait ensuite une pause à Sapporo. Ancienne ville olympique, Sapporo est un haut lieu du ski. Mais au Japon, il y a aussi des disciplines sportives pas comme les autres comme la bataille de boules de neige. Enfin, après un dernier tour de train le long d’une côte gelée, Philippe découvre les joies des bains chauds en extérieur : les onsens. Ce sont des sources d’eau chaude naturelle très relaxante et qui sont très prisées des Japonais.

Philippe Gougler nous emmène en voyage dans des trains pas comme les autres et nous propose des itinéraires au cœur d’un pays, d’une civilisation ou d’un peuple. Le train reste le vecteur de découverte central, symbole d’un mouvement vers un ailleurs propice au dépaysement. Il nous permet de contempler des paysages spectaculaires et de réaliser des rencontres aussi étonnantes qu’imprévisibles.
Pour ce nouvel épisode, Philippe part à la découverte de la Serbie, au carrefour des Balkans et de l’Europe. La Serbie est une terre de caractère, aux atours encore peu explorés.
Au programme du voyage de Philippe : le train bleu, train légendaire de Tito, la découverte de Belgrade et ses mariages collectifs, et l’exploration d’une campagne pleine de surprises avec des maisons flottantes, un étrange cercle magnétique ou encore des thermes très conviviaux…

Ce numéro d'Ushuaïa Nature débute au nord de la Colombie chez les mythiques Indiens Kogis pour s'achever au cœur du Brésil, à la rencontre du peuple Kayapo et de leur chef, Raoni.
Nicolas Hulot, accompagné par le géographe, Eric Julien, se fait guider à cheval dans la Sierra Nevada par des Indiens Arhuecos pour rejoindre le territoire des Kogis. Ces derniers représentants d'un monde à jamais disparu refusent tout contact avec notre civilisation matérialiste et l'accès à leurs terres est extrêmement réglementé. Arrivés au village, Nicolas et Eric doivent enlever leurs chaussures et se débarrasser de tout objet manufacturé. Nicolas explique les raisons de sa visite aux chefs de la tribu. Il réussit l'examen de passage et se laisse guider jusqu'au temple du village où les hommes se regroupent pour discuter et méditer. De leurs côtés, les femmes s'occupent des enfants et tissent les fibres végétales pour fabriquer des sacs. Ce peuple, libre de toutes contingences matérielles, cultive entre autres l'oignon, les haricots, le yucca et l'ananas. En dehors de quelques rares objets, tout est fabriqué selon le savoir-faire ancestral. Après avoir participé à la remise en état de la piste qui mène au village, Nicolas et Eric ont le privilège d'accompagner les hommes Kogis sur leur lieu de méditation au bord de la rivière.
Le voyage se poursuit dans la Sierra de Santa Marta, un réservoir de biodiversité parmi les plus variés au monde. Le Colombien Franz Kaston Florez, vétérinaire écologiste, brave les dangers de la région pour faire connaître sa richesse exceptionnelle. Ce spécialiste des serpents vit avec les Indiens Arhuecos. Contrairement aux Kogis, ces hommes se déplacent pour chasser et profitent des biens de consommation que peut leur apporter le monde moderne. Eric et Nicolas rejoignent Franz qui les entraîne sur son terrain de chasse préféré, des chemins abrupts où ils dénichent toutes sortes de serpents. Ils montrent ensuite ses trouvailles aux villageois pour qu'ils apprennent à respecter ces reptiles malgré leur effrayante apparence.
L'équipe d'Ushuaïa Nature monte jusqu'à la cité perdue découverte en 1976 par un anthropologue colombien. Pour admirer ce site exceptionnel, Nicolas prend place à bord du silencieux aéroplume® et embrasse l'ensemble de ce lieu magique. Il survole ensuite la forêt amazonienne pour aller à la rencontre de Raoni, figure emblématique de la défense de la cause indienne, dans son village natal sur les rives du Rio Chingo. Particulièrement ému, Nicolas écoute Raoni entouré des guerriers Kayapos. L'homme explique ses craintes pour l'avenir de son peuple et demande à Nicolas de se faire le messager des menaces qui pèsent sur eux et leur environnement.
Nicolas accompagne les hommes du village à la chasse et s'imprègne du savoir prodigieux de cette communauté sur les vertus de la nature environnante.
Il conclut son périple, inquiet pour leur avenir, et formule l'espoir, qu'un jour, les civilisations unissent ce qu'il y a de meilleur dans la société occidentale et indienne pour préserver les ressources de la terre et ses habitants.

Direction la grande bleue pour Gérald Ariano qui va découvrir le nouveau centre de sauvetage des tortues marines du musée océanographie de Monaco...

Puis Gérald retrouvera Muriel et les bénévoles de l’association SOS Grand Bleu, à St-Jean-Cap-Ferrat, qui participent à la sauvegarde des mammifères marins au large de la Côte d’Azur.
A l’occasion d’une sortie en mer, l'équipe va croiser la route d’un banc d’une dizaine de dauphins venus les saluer !

La biologiste Ocean Ramsey attribue sa relation inégalée avec les requins à des années de recherche. Pendant un an, Ocean et son équipe de biologistes parcourent le monde pour sensibiliser à la protection des requins et tenter de stopper leur extinction. Celle que les médias surnomment « the Shark Whisperer » (celle qui murmurait à l’oreille des requins), souhaite, à travers cette expédition, donner au monde la possibilité de percevoir les requins comme elle.

Dans la nature, on est soit celui qui mange, soit celui qui est mangé. Rares sont ceux qui échappent à cette loi qui régit tout. Cette bataille épique du prédateur et de sa proie a façonné la vie sur Terre et abouti à la création de compétences magistrales. Découvrons celles-ci.
Dans cet épisode, nous partons à la rencontre de ces créatures redoutables. Qu'il s'agisse du grand requin blanc et de sa capacité à sortir de l'eau en pleine chasse, du puissant crocodile du Nil qui se tient à l'affût, discrètement caché, ou des chiens sauvages experts en chasse, capables de déchiqueter leur proie en une fraction de seconde, découvrez ces dangereux prédateurs !

Dans la nature, on est soit celui qui mange, soit celui qui est mangé. Rares sont ceux qui échappent à cette loi qui régit tout. Cette bataille épique du prédateur et de sa proie a façonné la vie sur Terre et abouti à la création de compétences magistrales. Découvrons celles-ci.
Dans cet épisode, attention où vous mettez les pieds ! Cachées sous des troncs, dans des arbres, des terriers vides ou des herbes hautes, se trouvent des créatures si mortelles qu'une seule morsure suffirait à abattre un éléphant. Non seulement elles sont presque invisibles, mais elles sont également armées d'un cocktail venimeux et surtout mortel. Que les intrus prennent garde ! Ces serpents, araignées et scorpions, malgré leur petite taille, ont un venin rapide et efficace.

Dans la nature, on est soit celui qui mange, soit celui qui est mangé. Rares sont ceux qui échappent à cette loi qui régit tout. Cette bataille épique du prédateur et de sa proie a façonné la vie sur Terre et abouti à la création de compétences magistrales. Découvrons celles-ci.
Petits, légers et invisibles, le monde peut être un endroit cruel pour ceux qui ne sont pas à la hauteur. Mais ne vous méprenez pas, elles sont peut-être petites et discrètes, mais ces créatures savent survivre. Ce qu'elles n'ont pas en taille, elles le compensent par leur puissance, leur force et leur ténacité. Les mangoustes rayées, les porcs-épics, les loutres du Cap, les genettes tachetées et les caracals sont des créatures qui passent inaperçues, mais qui n'auront aucun mal à s'attaquer à des créatures deux fois plus grandes et plus lourdes qu'elles ! Avis aux intrus : ces prédateurs sont petits mais mortels !