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Cette série documentaire part à la rencontre des populations impactées par des éruptions volcaniques destructrices, des scientifiques qui les étudient et de ceux qui gèrent ces crises majeures.
Dans cet épisode, partons aux Antilles.
L’éruption de la montagne Pelée en Martinique en 1902 reste aujourd’hui la plus grande éruption du 20e siècle. Elle est à l’origine des premiers observatoires et marque la naissance de la volcanologie. Mais si ce volcan est entré dans l’histoire, c’est toute la zone des petites Antilles qui fait partie des régions du globe les plus actives et connaît régulièrement des éruptions à la fois terrestres et sous-marines.
De la montagne Pelée à la Soufrière de Saint-Vincent, de l’observatoire volcanologique de Martinique au centre de surveillance sismique, cet épisode de Terres de volcans part à la rencontre de ceux qui surveillent ces poudrières et cherchent ensemble comment mieux anticiper leur colère.

En septembre 2021, le volcan Cumbre Vieja entre en éruption sur l’ile de la Palma, dans l’archipel des Canaries. La lave ensevelit toute une partie de l’île; plus de 7000 personnes sont évacuées et 70 km de routes détruites. C’est l’une des éruptions les plus destructrices depuis cinq siècles dans cet archipel. Pourtant, presque deux ans après, la gestion de cette crise est considérée comme une référence. Ce film part à la rencontre de la population impactée, des scientifiques et de ceux qui ont géré cette crise majeure.

Les côtes attirent les hommes, mais leur urbanisation galopante nous expose de plus en plus au drame. Le compte-à-rebours a commencé. Aujourd'hui, demain, dans un mois, un an, quelque part sur la planète une série de vagues à l'énergie incommensurable traversera un océan à la vitesse sidérante de plusieurs centaines de km/h, et ira submerger des côtes rasant parfois tout sur son passage. Comment prévenir les risques à venir ? Comment y faire face et mieux s'en protéger ?
Les terribles séismes de 2004 en Indonésie et de 2011 au Japon ont généré des vagues de 10 à 30 mètres. Elles ont été filmées sous toutes les coutures. Grâce à ces images couplées à des recherches de terrain, les scientifiques peuvent maintenant mieux comprendre et modéliser la dynamique générale des tsunamis. Elles leur ont permis d'acquérir une certitude : là où a déferlé un tsunami, un autre reviendra.

L'Ouganda, pays des grands lacs, est le territoire des sources du Nil. L'équipe du magazine le traverse à la rencontre des peuples pygmées. Au cours de ses pérégrinations, elle croise des gorilles des montagnes, des hippopotames et une flore exubérante, avant d'atteindre le Margherita Peak, le plus grand glacier d'Afrique, dont les eaux donnent naissance à l'une des sources du Nil.

Au sud de la Birmanie, la péninsule montagneuse de Dawei fait face à la mer d’Andaman, aux fonds marins divers et abondants. C’est là, dans le petit village de San Lan posé sur une bande de sable qui s’élance vers l’océan, que Marc Thiercelin fait la rencontre des Daweis. Ce peuple a élu domicile sur la péninsule il y a des siècles. Coupés du monde par un relief abrupt, ils ont développé une culture propre et un lien spirituel avec la nature luxuriante qui serait habitée par des esprits. La mer, généreuse source de nourriture, fait l’objet d’un véritable culte. Elle est symbolisée par l’esprit U Shing Gyi, le « seigneur des mers » qui veille sur les pêcheurs en échange d’offrandes quotidiennes. Ko Aung Moe, pêcheur depuis l’âge de 12 ans, est à la tête d’une famille de 11 personnes qu’il doit nourrir au jour le jour. Alors que la pleine lune approche, Ko Aung Moe doit se mettre en condition pour faire face aux effets qu’elle aura sur les marées. En l’accompagnant au cours de cette préparation, Marc fait la découverte d’un peuple de la mer vivant au rythme de la lune.

Marc Thiercelin, nous emmène cette fois ci chez les Mokens, population vivant à la frontière de la Thaïlande et du Myanmar. Ce peuple hors norme vit dans des Kabangs, bateau qu’ils considèrent comme des êtres à part entière et qui font partie intégrante de leur identité.

Marc Thiercelin, navigateur reconnu, par à la rencontre des Badjos, cet ancien peuple de navigateurs nomades d’Indonésie, aujourd’hui sédentarisé. Vivant dans des villages sur pilotis, leur culture originelle ainsi que leur quotidien, reste pourtant intact, c’est ce que Lauda, l’un des meilleurs pécheurs en apnée de sa communauté va démontrer à Marc, au cours de son voyage.

Au Nord du Timor, sur le flanc ouest de l’île d’Atauro, Marc Thiercelin fait la rencontre d’un groupe de femmes pas comme les autres : les Wawata Topu. Pendant longtemps, les habitants de cette île montagneuse ont vécu d’élevage et d’agriculture sur ses hauteurs, loin au-dessus de la mer. Mais lorsque les versants verdoyants se sont changés en terres arides, une poignée de femmes vivant dans le petit village d’Adara ont décidé de se tourner vers la mer pour y puiser de nouvelles ressources. Les hommes, restés sur le rivage, les ont surnommées les femmes poissons, les Wawata Topu dans leur dialecte. Angelita et Sarah ont à peine 20 ans, mais cela fait déjà de nombreuses années qu’elles explorent les fonds marins armées de leurs harpons. Capables de retenir leur respiration pendant plus de deux minutes, elles ont appris à plonger en même temps qu’à marcher et à parler. Elles ont suivi l’exemple de leurs aînées, et sont un modèle pour les petites filles d’Adara. Dans les profondeurs du lagon luxuriant et coloré où elles plongent, Marc fait la découverte d’un rituel entre femmes à la fois nécessaire et émancipateur.

Caméra au poing et filet de camouflage sous le bras, le youtubeur Julien Donzé (alias le GrandJD) et le photographe animalier Fabien Wohlschlag partent à la découverte des animaux qui fréquentent les forêts, les rivières et les montagnes de Suisse romande. Une aventure en 10 épisodes, du castor à la limace en passant par la chauve-souris.

Nous savons qu'il existe un lien entre la pollution sonore et le comportement animal, mais maintenant, pour la première fois, nous avons l'occasion de l'observer. Grâce à des expériences majeures à travers le monde, dans des pays comme l'Espagne, les États-Unis, le Canada et la France (mission Quiet Sea), cet épisode révélera les impacts de la pollution sonore sur la communication des cétacés (Dauphins et Cachalots), la distribution et la reproduction des animaux (Belugas), en suivant de près leurs changements de comportement pendant et après les confinements (oiseaux, batraciens). Ces expériences permettront d'identifier des solutions pour réduire la pollution sonore et protéger la faune et la flore et indirectement la vie humaine.

Au cours de cette période sans précédent, des initiatives ont vu le jour, comme l'arrêt de l'éclairage public à certains moments dans de nombreuses villes du monde. De plus le ralentissement des activités commerciales et industrielles a rendu les villes moins lumineuses qu'elles ne l'étaient avant la pandémie. Bien que les périodes de confinements aient été relativement courtes, les résultats ne se sont pas fait attendre. Les insectes et les oiseaux migrateurs (Pétrels à l'île de La Réunion) ce sont moins écrasés sur les lumières, et de nombreuses espèces de tortues sont revenues pondre leurs œufs sur des plages presque désertes.